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Nos Actualités

Comment arrêter de fumer naturellement ?

Vous souhaitez arrêter de fumer sans avoir recours aux substituts à base de nicotine ? Sachez que plusieurs méthodes naturelles existent et permettent de favoriser le sevrage tabagique chez certains fumeurs réceptifs. Sophrologie, hypnose, acupuncture, aromathérapie… La Mutuelle GSMC vous dresse la liste de ces remèdes qui peuvent se montrer très efficaces. La sophrologie La sophrologie est une médecine non conventionnelle qui tend à favoriser un bon équilibre entre le corps, le mental et les émotions. Elle combine plusieurs exercices de respiration, de relaxation et de visualisation positive en position assise ou débout, seul ou en groupe. Si vous y êtes sensible, la sophrologie peut vous permettre de traiter les problèmes d’anxiété, de nervosité et de stress liés à l’arrêt du tabac. Il ne s’agit pas d’un traitement mais plutôt d’une méthode complémentaire sur le moyen et le long terme pour vous aider à arrêter de fumer. L’hypnose Au moment d’arrêter de fumer, bien que le conscient sache qu’il ne faut plus toucher à la cigarette, l’inconscient peut nous y pousser. Ainsi, pour aider les personnes à se détacher de leur addiction au tabac, l’hypnothérapeute va tenter d’ancrer le patient dans un état modifié de conscience, entre l’éveil et l’endormissement. Le but étant ensuite d’instaurer un dialogue avec l’inconscient pour le stimuler et substituer certains comportements au tabagisme afin de réduire le sentiment de manque et de privation. Elle aussi considérée comme une médecine douce, l'hypnose constitue une thérapie brève : selon la réceptivité du fumeur et son degré de dépendance, une ou deux séances peuvent suffire. > À lire aussi : 5 conseils pour arrêter de fumer L’aromathérapie et la phytothérapie Si les huiles essentielles et les plantes ne constituent pas un remède miracle de sevrage, elles peuvent, chez certaines personnes, constituer une aide précieuse pour lutter contre le stress et les symptômes liés au manque. Les huiles essentielles sont principalement utilisées en inhalation humide ou sèche ou par diffusion atmosphérique. Celles aux extraits d’agrumes, comme le yuzu, la mandarine, l’orange ou encore le pamplemousse, auraient des actions apaisantes. Les huiles essentielles stimulantes, comme l’eucalyptus, le pin ou la menthe poivrée peuvent également participer au sevrage. On peut aussi mentionner certaines plantes, comme le kudzu, une plante grimpante originaire du Moyen-Orient aux vertus apaisantes, détoxifiantes et antioxydantes. La valériane, quant à elle, aiderait à lutter contre l’anxiété et favoriserait le sommeil. Enfin, la rhodiole permettrait d’atténuer les symptômes liés au sevrage, en particulier le stress et l’irritabilité. L’acupuncture et l'auriculothérapie Issue de la médecine chinoise, l'acupuncture consiste à placer des aiguilles sur différents points énergétiques du corps de manière à harmoniser et à équilibrer toutes les fonctions du Qi (« énergie vitale »). De son côté, l’auriculothérapie est une forme de réflexothérapie qui consiste à utiliser divers outils ou procédés, comme des aiguilles, des aimants et un laser doux, afin d’activer des zones précises du pavillon de l’oreille. L’efficacité de l’acupuncture et de l’auriculothérapie sur le sevrage tabagique n’est pas prouvée scientifiquement mais rien ne vous empêche d’essayer si vous en ressentez l’envie. Soyez toutefois vigilants : certains centres laser anti-tabac avancent des chiffres mensongers, promettant parfois jusqu’à 85 % de réussite. Il n’est pas non plus rare qu’ils évoquent des « thérapeutes » ou des « praticiens » pour parler des professionnels qui réalisent les séances. Or la Haute Autorité de santé (HAS) est formelle sur ce point : seuls les médecins et professionnels de santé reconnus sont habilités à réaliser des séances de laser et d’acupuncture. L’homéopathie L’homéopathie peut également donner un coup de pouce aux personnes souhaitant arrêter de fumer. Contrairement aux méthodes de sevrage tabagique classiques, l’homéopathie ne présente pas de contre-indications et ne provoque pas d’effets secondaires. Chaque cas étant particulier, il convient évidemment de consulter un médecin homéopathe avant d’ingérer quoi que ce soit. Celui-ci vous orientera vers les remèdes homéopathiques et les dosages adaptés. Voici néanmoins le nom de quelques remèdes pouvant vous aider à contrer les symptômes liés à l’arrêt du tabac : irritabilité – Nux vomica 9 CH ; envie de fumer – Tabacum 5CH ; perturbation du sommeil – Belladona 9 CH ; stress – Ingnatia amara 15 CH ; anxiété – Aurum Mettallicum 9 CH. > À lire aussi : Quels sont les bienfaits de l’arrêt du tabac jour par jour ? La Mutuelle GSMC vous accompagne… Vous êtes fumeur et vous aimeriez bien arrêter la cigarette ? Sachez que les adhérents à la Mutuelle GSMC peuvent bénéficier d’un an d’abonnement Premium à l’application Kwit (d’une valeur de près de 60 €). N’hésitez pas à nous contacter !

Addiction : quand la consommation d'alcool devient un problème

L’addiction à l’alcool est un trouble médical, souvent héréditaire, qui affecte la qualité de vie des personnes touchées et celle de leurs proches. La fréquence et la quantité d’alcool absorbée ne sont pas les seuls indices à prendre en compte pour déterminer si sa consommation d’alcool est excessive. Comment savoir si on est alcoolique ? Quels sont les différents types d’addiction à l’alcool ? Quelles conséquences sur le corps et quel impact sur la famille ? La Mutuelle GSMC vous explique tout. Quand parle-t-on d’addiction à l’alcool L’alcoolisme, ou l’alcoolo-dépendance, se caractérise par le fait de consommer des boissons alcoolisées de manière inadaptée et répétée. Il s’agit d’une maladie qui crée une dépendance physique et psychologique à l’alcool, et qui peut se manifester de nombreuses façons. Quels sont les symptômes de l’alcoolisme L’addiction à l’alcool s’installe souvent de manière insidieuse. Plusieurs mois ou années sont parfois nécessaires avant de se rendre compte que sa consommation est problématique. Pour autant, quelques signes permettent de prendre conscience qu’on tend vers un comportement addictif : la consommation d’alcool devient de plus en plus fréquente ; les quantités d’alcool ingérées augmentent petit à petit ; la sensation de perte de contrôle et les black-outs sont réguliers ; des conséquences négatives (absentéisme professionnel, « gueule de bois » répétées, conflits, violence…) commencent à apparaître ; un sentiment de honte ou de culpabilité se développe progressivement ; on éprouve une grande difficulté à arrêter de boire ; des signes de manque apparaissent au moment du sevrage. Est-ce qu’une personne alcoolique boit tous les jours ? Dans l’imaginaire collectif, les personnes qui développent une addiction à l’alcool boivent tous les jours, parfois même dès le réveil. En réalité, il existe différents types d’alcoolisme. L’alcoolisme mondain, qu’on qualifie souvent « d’alcoolisme social » ou « convivial ». Il se manifeste par une consommation régulière d’alcool, qui peut être quotidienne. L’alcoolisme mondain ne mène pas toujours à l’ivresse, si bien qu’il n’est pas aisé pour les personnes de s’inquiéter de leur consommation répétée. L’alcoolisme fonctionnel. Ce type d’alcoolisme « discret » n’est pas simple à identifier non plus. Il consiste à prendre l’habitude de boire plus fréquemment, en plus grande quantité, à mesure que le corps s’habitue. En parallèle, les personnes souffrant de ce type d’addiction continuent d’assumer leurs responsabilités, ce qui rend la prise de conscience complexe. Le binge drinking consiste à boire occasionnellement une grande quantité d’alcool, sur un temps très court. En général, le sujet ne boira pas de toute la semaine (ou de la journée), et aura tendance à « se lâcher » le week-end (ou le soir). À mesure que le schéma se répète, le binge drinking peut mener à une dépendance. L’alcoolisme chronique constitue la forme d’alcoolisme la plus sévère. Les personnes alcoolo-dépendantes ont une dépendance physique et/ou psychique à l’alcool et ne peuvent plus fonctionner sans. Boire n’est plus un plaisir mais une nécessité. À lire aussi : Quels sont les symptômes de l’alcoolisme ? Consommation d’alcool : quelles conséquences ? Une consommation excessive et prolongée d’alcool peut provoquer de graves problèmes psychiques et physiques. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime même que l’alcool tue environ 3 millions de personnes dans le monde chaque année. Quand le corps dit stop à l’alcool L’alcool, même absorbé en faible quantité, présente en effet de nombreux risques. À court terme, il est susceptible de provoquer de la fatigue, des troubles de l’attention, une réduction du champ de vision ou encore une diminution des réflexes, augmentant ainsi le risque d’accidents de la route mortels. À moyen et à long terme, l’addiction à l’alcool peut entraîner de nombreuses pathologies : ulcères, hépatites, cirrhoses éthyliques, pancréatites ou encore maladies cardio-vasculaires. De plus, l’alcool augmente le risque de certains cancers (cancer de la bouche et de la gorge, de l'œsophage, du foie, du côlon et du rectum, du sein). Enfin, les personnes alcoolo-dépendantes sont plus sujettes aux problèmes de santé mentale (anxiété, dépression) et aux problèmes relationnels (isolement, violence). Comment réagit le corps lorsqu’il est en manque ? Dans le cadre d’un sevrage d’alcool, le corps peut réagir plus ou moins violemment, en fonction du degré de dépendance. D’un point de vue physique, l’arrêt de boire peut entraîner des nausées et des vomissements, des sueurs, des tremblements, des vertiges ou encore de la tachycardie. Psychologiquement, la personne peut ressentir des phénomènes anxieux voire dépressifs, et des troubles plus sévères qui se traduisent par un état délirant et/ou confusionnel. Dans tous les cas, il est conseillé de se faire accompagner par un médecin lorsqu’on choisit d’arrêter de boire. Dépendance à l’alcool : un impact sur l’entourage Si l’abus d’alcool constitue avant tout un problème individuel, il peut également impacter la vie sociale et concerner l’entourage. En effet, les personnes alcooliques, même dans les moments sobres, ont tendance à éprouver un désintérêt total pour la vie quotidienne et à décharger des tâches sur les autres membres de leur famille. Elles peuvent également se montrer irritables et susceptibles, voire agressives et violentes, en particulier quand elles sont en état d’ivresse. En face, l’entourage se sent souvent désemparé et ne sait pas comment réagir. Toutefois, en faisant la démarche de comprendre la problématique de la personne qui présente une addiction à l’alcool, il existe des solutions pour l’accompagner. À lire aussi : Comment aider une personne alcoolique ? La Mutuelle GSMC vous accompagne… Parce que chaque assuré a des besoins différents, la Mutuelle GSMC vous propose une couverture santé adaptée à votre âge, votre profession ou encore votre régime alimentaire. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations.

EHPAD : définition, avantages, coûts

Les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sont des solutions de logement pour les seniors. Combien coûte un EHPAD ? Qui finance les EHPAD ? Qui s’occupe des résidents ? Tout ce qu’il faut savoir sur ces établissements avec la Mutuelle GSMC. EHPAD : de quoi parle-t-on ? Les EHPAD font partie de la catégorie des logements seniors médicalisés. Il s’agit, en d’autres termes, d’une maison de retraite médicalisée adaptée aux personnes âgées rencontrant des soucis de santé. Ces problèmes de santé empêchent les seniors de rester seuls chez eux et peuvent être d’ordre physique – une personne âgée incapable de marcher, en fauteuil roulant, par exemple - ou d’ordre psychique (perte de mémoire, d’orientation, etc.). À lire aussi : Tout savoir sur les solutions de logement pour seniors Quels sont les avantages et les inconvénients des EHPAD ? Bien qu’elle soit souvent victime de préjugés, la maison de retraite médicalisée présente des atouts non négligeables pour les personnes âgées dépendantes. Focus sur les avantages et les inconvénients de l’EHPAD. Les avantages de l’EHPAD L’EHPAD rassemble et propose un ensemble de services très pratiques pour les seniors : le logement, les repas, la gestion des tâches ménagères ainsi que l’organisation d’animations. Chaque résident dispose ainsi de sa propre chambre (à moins qu’il ne s’agisse d’un couple qui souhaite partager les lieux, par exemple), afin de préserver l’intimité et la tranquillité de chaque senior. Quant aux repas, tout est pris en charge, du petit déjeuner au dîner, en passant par le goûter. Il en est de même pour le nettoyage des chambres, des draps ou encore des salles collectives. Les personnes âgées hébergées n’ont donc plus à se soucier de toutes ces tâches et peuvent ainsi se reposer en toute quiétude. Par ailleurs, les animations proposées au sein des EHPAD permettent de rompre l’isolement des seniors. Ces derniers peuvent en effet créer des affinités avec les autres résidents lors d’ateliers, de concerts ou de séances de jeux de société, par exemple. Certains établissements organisent également des activités en extérieur. Dernier atout, et non des moindres : la sécurité offerte par l’EHPAD. Les personnes âgées sont en effet encadrées par des médecins, des infirmiers et des aides-soignants. De quoi rassurer les seniors et leurs proches quant à la prise en charge en matière de santé. Les inconvénients de l’EHPAD Les EHPAD présentent toutefois quelques inconvénients, à commencer par leur coût. Ce dernier est relativement élevé, qui plus est dans les établissements privés. La plupart des maisons de retraite médicalisées calculent leurs tarifs à la journée, mais certaines proposent des forfaits hebdomadaires et mensuels. Les tarifs dépendent également du lieu d’implantation de l’EHPAD (les prix parisiens ne sont pas les mêmes que ceux en province, par exemple). Le manque d’effectifs est aussi souvent pointé du doigt concernant les EHPAD. Ces derniers peinent en effet à recruter du personnel médical formé à l’encadrement des personnes âgées. Les salariés travaillant en EHPAD ont ainsi tendance à supporter une charge de travail trop importante, ce qui peut impacter l’accompagnement global des seniors. Enfin, le nombre de places très limité et les longues listes d’attente dans certaines régions – entre 80 et 120 places par EHPAD en moyenne, sauf ceux de petite taille qui disposent de moins de 25 places - peuvent décourager bon nombre de personnes à faire une demande de place dans ce type d’établissement. Qui peut vivre en EHPAD ? Les résidents des EHPAD sont des personnes âgées dépendantes, c’est-à-dire qu’elles ne sont plus autonomes au quotidien. Ces seniors ont généralement aussi besoin de soins courants. Il s’agit, par exemple, d’une personne touchée par la maladie d’Alzheimer qui a perdu tous ses repères et qui risquerait de se mettre en danger sans surveillance permanente. Le problème de santé peut aussi être physique, comme ces seniors qui ne peuvent plus bouger seuls et qui sont obligés de se déplacer en fauteuil roulant. Qui s’occupe des résidents en EHPAD ? Une équipe de professionnels s’occupe des résidents en EHPAD : des infirmiers, des aides-soignants ainsi qu’un médecin traitant. Ce dernier peut d’ailleurs être choisi par le résident lui-même, qui peut décider de conserver le même médecin traitant qu’il avait auparavant. Des accompagnateurs éducatifs et sociaux peuvent aussi venir s’occuper des résidents en EHPAD. Combien coûte une place en EHPAD ? Le prix d’un séjour en EHPAD comprend notamment deux critères : le prix d’hébergement de l’établissement et le tarif dépendance de la personne âgée. Le tarif dépendance GIR 5-6 (groupe iso-ressources) est le plus couramment appliqué, sachant qu’il concerne les personnes disposant d’un revenu mensuel inférieur à 2 635,54 €. La catégorie de la chambre choisie impacte également le prix de la place en EHPAD, selon qu’il s’agisse d’une chambre simple ou d’une chambre double. Il existe également un tarif soins, qui comprend le coût des soins et le financement d’une partie du matériel médical. Ce tarif est toutefois pris intégralement en charge par l’Assurance Maladie. Bon à savoir Les prix des EHPAD sont inscrits dans l’annuaire des EHPAD du portail gouvernemental pour-les-personnes-agees.gouv.fr. Quelles aides financières pour payer une place en EHPAD ? On distingue actuellement trois aides financières pour aider au financement des frais d’un EHPAD : L’aide personnalisée d’autonomie (APA), qui prend en charge une partie des frais du séjour en EHPAD ; L’aide au logement, qui en finance également une partie ; L’aide sociale à l’hébergement, spécifiquement dédiée aux occupants d’un EHPAD. Une réduction d’impôts, de l’ordre de 2 500 euros maximum, est également envisageable si le senior est imposable. À lire aussi : Qu’est-ce que l’APA et comment l’obtenir ? Comment choisir un EHPAD pour un proche ? Il est recommandé d’effectuer plusieurs demandes de places en EHPAD en même temps, afin de maximiser les chances d’obtenir une place. Pour cela, un dossier doit être rempli, avec une partie administrative et une partie médicale, à faire remplir par le médecin traitant du senior en demande. À lire aussi : Tout savoir sur l’hospitalisation à domicile La Mutuelle GSMC vous accompagne… La Mutuelle GSMC offre aux séniors une couverture santé 100 % personnalisée.  Découvrez notre solution Sénior 100 % Nous et adaptez votre contrat en fonction de vos besoins. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations.

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